L’autre côté des docks, de l’Américaine Ivy Pochoda.
Entre ciel et terre, de l’Islandais Jon Stefansson.
L’autre côté des docks, de l’Américaine Ivy Pochoda.
Entre ciel et terre, de l’Islandais Jon Stefansson.
La montagne morte de la vie. Roman d’aventure? Fable métaphysique? Fantastique?
A noter: une critique pour le moins originale du roman!
La route, de Cormac Mc Carthy.
« Plus qu’un roman, ce récit est une fable. Pour cette raison, il est plus facile à lire qu’un roman, plus épuré. Tous les publics peuvent s’en emparer, notamment les adolescents. La Route est un peu, dans l’œuvre de McCarthy, ce que Le Vieil Homme et la Mer est dans celle de Hemingway : un concentré de l’œuvre, mais sous forme de conte. Il fait partie des livres qui deviennent des classiques instantanés. Le mystère et le doute qui en entourent le sens ou, pour mieux dire, les différentes significations possibles, permettent à chacun de se l’approprier. On peut le lire comme une fable sur la relation père-fils. Ou sur la fin du monde. Il est possible d’en avoir une lecture écologique, mais on peut aussi penser à la Shoah… C’est un peu comme Kafka : McCarthy est le révélateur d’une angoisse collective, à laquelle il a su donner une forme. J’ai rencontré des lecteurs qui pleuraient en m’en parlant, comme si le livre s’adressait directement et intimement à chacun d’eux. » Olivier Cohen, éditeur de L’Olivier.
Home, de Toni Morrison.
Tout s’effondre, du Nigérian Chinua Achebe. Si vous ne lisez qu’un livre africain, c’est celui-là.
Bonne critique sur ce site, mais à lire après le roman.
Gouverneurs de la rosée, de Jacques Roumain.
« Il y a heureusement un assez grand nombre de livres dont on peut conseiller : lisez-les. Il y en a très peu dont on ait envie de dire : il faut que vous les lisiez. Si vous mourez sans les avoir lus, vous avez manqué quelque chose d’important. Gouverneurs de la rosée de Jacques Roumain est de ceux-ci. »André Still.
Ce sont des romans qui nous ont profondément émues et qui sont parmi les plus beaux que nous ayons lus. Notre bibliothèque de base!
La harpe de Birmanie, de l’écrivain japonais Michio Takayama.
Equador, de Miguel Sousa Tavares.
Les loups de Voïvodine, de Miroslav Popovic.
Tuff. L’histoire n’est pas aussi originale et élaborée, mais le style, lui, est déjà là!
On rit jaune, mais on rit!
Il n’en revint que trois, de Gudbergur Bergsson. On retrouve un peu du style répétitif, hypnotisant de Stefansson et l’évocation d’une nature dure, tandis que l’approche historique rappelle celle de Birgisson: comment ce petit pays a-t-il vécu (ou survécu) aux changements apportés par le monde extérieur?
Je dois avouer ma perplexité face à certains choix de l’auteur, pas de prénoms pour nommer les personnages -le Gamin, le Fils etc- un titre intriguant, le rôle positif accordé aux étrangers (pas américains!) face au côté sombre des Islandais, mais c’est assurément un livre auquel on repense. Et les dernières réflexions sur les grandes sagas laissent rêveur.
Client: Si j’avais une librairie, je ferais un rayon mystère particulièrement dur à trouver.
Cliente: Si je devais, par exemple…. rencontrer l’homme de ma vie dans cette librairie, à votre avis, ce serait dans quel rayon?
Client: Est-ce que vous avez des livres qui parlent de Pâques?
Libraire: Oui, bien sûr.
Client: Très bien, idéalement avec plein de poussins et de lapins, merci.
Vous auriez un livre qui donne la météo du reste de l’année?
Client: « Vous avez lu tous les livres que vous vendez? »
Libraire: « Non, je ne pourrais pas prétendre les avoir tous lus. »
Client: « Eh bien, vous ne devez pas être très brillante comme libraire, non? »
« J’ai oublié mes lunettes. Vous pourriez me lire le début de ce livre, pour voir s’il me plaît?
« Cela vous ennuie si j’emporte avec moi ce livre pour le lire pendant que je vais manger au restau à côté?
Dans la rue j’entends les sirènes, de Adrian Mckinty.
Le colis, de Anosh Irani, aux éditions Philippe Rey.