et donc, on en remet une petite couche sur Friday black, qui nous a énormément impressionnés.
“A trente ans, ce jeune écrivain d’origine ghanéenne débouche dans le paysage de la littérature yankee telle une grenade dégoupillée. Bienvenue aux Etats-Unis : racisme décomplexé, consumérisme pathologique, individualisme forcené… Résultat ? Douze nouvelles à l’inventivité délirante.” LE CANARD ENCHAÎNE
“Les nouvelles de Nana Kwame Adjei-Brenyah sont glaçantes. Qu’elles mêlent le fantastique à la satire, la dystopie au réalisme social, elles dépeignent une société américaine en proie à la violence : racisme, suicide au travail, injonctions au bien-être et à la consommation. Un coup de maître pour un premier livre à l’écriture alerte et à l’inventivité féroce. Difficile d’en sortir indemne.” LE MONDE AFRIQUE
“Nana Kwame Adjei-Brenyah frappe là où ça fait très mal aux Etats-Unis: la violence dans tous ses états, raciale, sociale, économique, solitaire ou collective. Il le fait avec une originalité et une inventivité remarquables, insérant dystopie, surréalisme, fantastique, horreur, satire, hyperbole et humour décalé dans douze histoires. Le lecteur aura l’impression de lire plusieurs livres, de parcourir plusieurs micro-univers, de plusieurs auteurs, dans plusieurs genres et styles différents. Il aura pourtant la certitude d’entendre une seule voix, rageuse et délicate à la fois.” LE TEMPS