Un petit bijou mexicain d’à peine 200 pages qui parle de drogues, de santeria, de migrations, le tout sous forme de thriller, mais un thriller littéraire.
Santa Muerte, aux éditions Sonatine.
Un petit bijou mexicain d’à peine 200 pages qui parle de drogues, de santeria, de migrations, le tout sous forme de thriller, mais un thriller littéraire.
Santa Muerte, aux éditions Sonatine.
Dévorez les ténèbres, aux éditions Sonatine.
dans et sur le roman, bref, un polar JUBILATOIRE !
Du rififi à New-York, écrit par un certain Vlad Eisinger, inconnu chez Google, mais préfacé par un certain Antoine Bello….
Nous avons demandé à notre amie Anne, éditrice à La Musardine, de nous conseiller quelques titres. Les voici:
L’amour c’est bon pour la santé
Et n’oublions pas la littérature! La Fontaine et autres écrits coquins……
Cochrane vs Cthulhu: un réjouissant mélange de roman maritime et de fantastique, c’est le roman de l’écrivain chilien Gilberto Villarroel, où l’on rencontre un authentique marin britannique héros des guerres napoléoniennes, Lord Cochrane, ses compagnons, moins authentiques ceux-là, mais judicieusement nommés O’Brian et Forester, les frères Champollion, qui grâce aux signes découverts dans l’antre du monstre de Lovecraft parviennent à compléter leur traduction des hiéroglyphes, et les courageux défenseurs français de la forteresse contre l’ennemi anglais et des créatures encore plus redoutables.
Et tout cela, à Fort Boyard!
P.S. Au cas où ce livre vous donnerait envie de lire des romans maritimes……nous en avons plein!
Profitons-en pour (re)-lire de l’auteur italien Paolo Cognetti,
Les huit montagnes et Le garçon sauvage, tous deux en édition de poche.
Et au risque de se répéter, le très beau Une vie entière de l’Autrichien Seethaler.
Les 700 aveugles de Bafia, de l’auteur camerounais Mutt-Lon.
C’est un vrai roman inspiré de faits réels qui nous plonge dans le Cameroun colonial des années 20. A lire donc pour la reconstitution historique, des chefferies traditionnelles à la lutte des médecins français contre la maladie propagée par la mouche tsé-tsé. Egalement pour la superbe traversée de la forêt équatoriale de l’héroïne en compagnie de son guide pygmée.
A ce propos, je ne suis pas tout à fait d’accord avec la journaliste de TV5 monde, oui, le roman est parfois drôle, satirique parfois, mais si les blancs considèrent les noirs avec quelque sentiment de supériorité, (pas tous), les Bantous à leur tour font peu de cas des Pygmées!
« Avec le canon de son fusil, il m’a fait signe d’approcher. Connaissant George et les us du désert, c’était ce qui ressemblait le plus à une poignée de main. »