Mais c’est pareil.
A la ligne, de Joseph Ponthus aux éditions de La Table ronde.
Lire également l’article de Ramses Kéfi dans Libération.
Mais c’est pareil.
A la ligne, de Joseph Ponthus aux éditions de La Table ronde.
Lire également l’article de Ramses Kéfi dans Libération.
ce n’est pas si loin. Il suffit d’ouvrir La Transparence du temps, le dernier ouvrage de Leonardo Padura, et hop! On y est!
Padura, c’est en plus un voyage au pays de l’amitié. Et un voyage au pays des éditions Métailié. Voici le très joli hommage que Anne-Marie Métailié lui rend sur la page de couverture:
« Je publie Leonardo depuis ses premiers romans, 1998 et je l’ai vu grandir et conquérir une audience internationale impressionnante.Malgré les prix littéraires et les succès, il a gardé son amour indéfectible pour sa ville La Havane, victime des vicissitudes de l’Histoire.Dans ses romans face à l’adversité il y a toujours un point fixe, l’amitié qui protège de tout.Dans la vie Leonardo Padura m’honore d’une amitié fidèle et généreuse dont je suis fière.Il fait partie de ces auteurs qui ont construit notre catalogue au cours de ces 40 ans d’édition ».
On peut lire une interview de l’auteur sur le site de La Dépêche.
Emil Ferris, l’auteure de Moi, ce que j’aime, c’est les monstres, primé au dernier festival d’Angoulême, « est l’une des plus grandes artistes de BD de notre temps ».
vous demandez comment l’on vit en Corée du Nord?
Ce roman est pour vous: L’étoile du nord, du Britannique D.B. John.
Et vous pouvez lire en prime son interview dans Le Point.
l’Angleterre dans un vieux car bringuebalant en compagnie de Puck, Titania et Obéron. Eh oui, les elfes existent encore, et leur compagnie n’est pas de tout repos!
La compagnie des fées, de Gary Kilworth .(A midsummer’s nightmare.)
qu’on les retrouve, même avec un an de retard.
Ainsi La note américaine, qui aurait dû figurer en premier plan dans notre vitrine amérindienne.
Où l’on apprend le rôle joué par une épingle de cravate, un drôle de roman espagnol.
Sous la neige et dans un charmant village? Lisez La fille du traître, de Leif Davidsen, aux éditions Gaia. On passe un bon moment.
un roman noir, dont on ne devine absolument pas au début de la lecture vers quoi il s’achemine, mais qui laisse un souvenir tenace. Il y a un curieux contraste, pour un lecteur européen, entre le manque total d’exotisme -banlieues qui s’étendent au bord de la mer et crise économique- et une réalité sociale et historique bien différente.
une fois par semaine, la permission de ne PAS lire de livre, mais, à la place, de passer votre soirée à regarder un film.
Un bon film évidemment.
DVD d’occasion: 6 euros.
A titre d’exemple, nous avons Citizen Kane, Winter sleep, un film turc très beau, très lent, à déguster un dimanche après-midi une tasse de thé à la main, Trial and error, un film anglais entre un assassin et son avocat complètement incompétent, The Queen, film politique remarquable même si on n’a rien à faire de la royauté, La guerre des boutons -le vrai-, Seuls les anges des ailes, film de Howard Hawks qui parle d’amitié, d’amour, d’aventure et d’avions. Mais que demande le peuple?